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CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A LA ROCHETTE

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CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A LA ROCHETTE

Région : Île-de-France

Département : Seine-et-Marne

Arrondissement : Melun

Canton : Melun

Intercommunalité : Communauté d'agglomération Melun-Val de Seine

Maire

Mandat : Pierre Yvroud

2014-2020

Code postal : 77000

Code commune : 77389

Spécialiste de création de sites Web

Création de sites Web pour les Rochettois

Création de sites Internet, sites Web, développement et référencement.

Population : 3 321 hab. (2015 en augmentation de 7,3 % par rapport à 2010)

Densité : 567 hab./km2

Développement de Sites Web

Coordonnées : 48° 30' 00- nord, 2° 40' 00- est

Altitude : Min. 36 m

Max. 98 m

Superficie : 5,86 km2

 

SITE INTERNET :    http://www.ville-la-rochette.fr

 

La Rochette est une commune française idéale pour créer et développer son entreprise. Vous y trouverez des conseils, consultants, coach, avocats, comptables..., située dans le département de Seine-et-Marne et la région Île-de-France. Elle fait partie de l'agglomération Melun Val de Seine avec 13 autres communes. Ses habitants sont appelés les Rochettois. Communes limitrophes de La Rochette : Melun,     Vaux-le-Pénil, Dammarie-lès-Lys,  La Rochette, Livry-sur-Seine, Chartrettes, Fontainebleau, Bois-le-Roi. Le document le plus ancien mentionnant la ville de La Rochette est une charte de 1047. La ville dépend alors du prieuré Saint-Sauveur de Melun qui fit construire l'église. La ville s'est ensuite étendue et a prospéré avec l'installation en 1753 de M. Moreau, directeur des fermes du roy. Il fut anobli en 1768 et pris le nom de François-Thomas Moreau de la Rochette. Il est à l'origine de la construction du château. La ville fut ensuite étendue au nord jusqu'à Melun par la vente du bois de l'Ermitage en lotissement en 1925. L'église Notre-Dame-de-la-Visitation, l'église est de style gothique. Le château de la Rochette, construit entre 1772 et 1778 par l'architecte Victor Louis. Une partie de la forêt de Fontainebleau juste à la sortie de la ville.

 

L'origine de La Rochette remonte à la préhistoire, la première occupation humaine se situant près du pont du Pet-au-diable. En effet, en amont, de nombreux objets ont été trouvés lors de dragages effectués entre 1934 et 1936 pour creuser le lit de la Seine jusqu'à la couche calcaire : des haches de silex de l'époque néolithique et d'origine bretonne, des lames d'épée et des couteaux de l'âge du bronze. Ces découvertes indiquent l'existence d'un gué qui servait de liaison entre les vieux chemins de Bière et ceux du plateau de Brie, transformés par la suite en voies romaines. Des hommes s'installèrent près de ce lieu de passage et sur le versant du coteau d'où coulaient de nombreuses sources. Ainsi naquit un hameau, il y a près de 8 000 ans. L'histoire de La Rochette est intimement liée à celle de Melun. Dans le récit de la conquête des Gaules, en 54 av. J.-C., on peut lire que Labienus, lieutenant de l'empereur Jules César, débarqua ses troupes sur le chemin de Halage en amont de Melun, près de La Rochette. Le document le plus ancien mentionnant l'existence de La Rochette date du Moyen Âge. En effet, une charte de 1047 nous apprend que les religieux du prieuré Saint-Sauveur de Melun attribuaient la fondation de leur couvent à Raynaud, fils du comte de Melun (contemporain de Robert le Pieux (996-1031), premier roi de France ayant eu sa résidence à Melun). Une donation de biens fonciers (églises et cimetières, le bourg, les voiries, les terres arables et les vignes, les bois, les moulins et les fours) devait permettre aux prêtres et aux moines de vivre des récoltes. On en trouve la liste dans la charte : - l'église Saint-Ambroise avec ses propriétés et ses serfs ; - le moulin de Rubelles ; - le village d'Orgenoy et celui de La Rochette.

 

La Rochette appartint donc au comte de Melun jusqu'au début du XIe siècle, puis revint au prieuré Saint-Sauveur de Melun. Une autre charte, signée en 1170 par Louis VII le Jeune (1120-1180), donne plus de précisions sur La Rochette. Ce roi très pieux, qui séjournait souvent à Melun, fit construire le chœur de l'église Notre-Dame de Melun, et, dix ans avant sa mort, il songea à assurer l'avenir du prieuré Saint-Sauveur en le mettant sous la tutelle de la riche abbaye de Château-Landon. Le rattachement de La Rochette à Château-Landon marque le début d'une ère de prospérité. C'est à cette époque, aux XIIe et XIIIe siècles, que l'église Saint-Sauveur de Melun et celle de La Rochette furent construites. Les moines du prieuré conservèrent la gestion de leurs biens, notamment la perception des dîmes (dixième partie de la récolte donnée au clergé) engrangées à La Rochette et la Varenne. Cette période de prospérité est marquée aussi par une augmentation de la population. Pour faire face à ces nouveaux besoins en nourriture, les moines de Saint-Sauveur se mirent à défricher les terres afin d'accroître leur production de céréales. Mais ils se heurtèrent à l'opposition des paysans de La Rochette qui, affranchis (il n'y a plus de serfs en Île-de-France au XIIIe siècle), se révoltèrent car ils tenaient à conserver la jouissance des friches où ils avaient l'habitude de mener paître leur bétail.

 

En 1261, sous le règne de saint Louis, l'affaire fut portée jusqu'à la Cour de justice de Paris, qui rendit l'arrêt suivant : « Le prieur pouvait cultiver ses friches ou en faire des étangs ou des vignes, mais non des pâturages pour ses animaux, ni y planter des bois, ni les clore afin que lorsque les récoltes seront enlevées, les habitants puissent y exercer la vaine pâture. » Mais ces essais de cultures par les moines durèrent peu de temps car les terres étaient trop pauvres et trop proches de la forêt, donc exposées aux dégâts causés par les gibiers. Progressivement, les paysans devinrent possesseurs de leurs terres en payant des redevances au prieuré Saint-Sauveur. Ils cultivaient des céréales aux différents lieux-dits du village (Pincevents, Pet-au-diable et vallée Colant, aujourd'hui Bois Coulant), mais aussi des vignes sur les coteaux, et des jardins. Cependant, l'élevage était encore plus important que la culture. En particulier, les porcs étaient menés dans les bois situés vers Bois-le-Roi, où ils étaient engraissés de glands, d'où le nom du lieu-dit « la Glandée ». La région melunaise fut ruinée par la guerre de Cent Ans (1337 – 1453). En 1347, d'après une « Déclaration des biens du prieuré Saint-Sauveur à la Chambre des comptes de Paris », les moines de Saint-Sauveur, appauvris, ne pouvaient plus exercer leur droit de justice (ils devaient payer les officiers de justice). En 1366, les moines vendirent leurs dernières friches. En 1493, les religieux de Saint-Sauveur refusèrent de réparer l'église de La Rochette, desservie par l'un d'entre eux, en faisant constater qu'ils étaient étrangers à sa fondation. Les landes, bois et friches non entretenus, retournèrent au domaine royal, à l'exception de deux petits fiefs, Olibon et Béthisy. Jusqu'au XVIIIe siècle, les habitants dépendirent donc de petits seigneurs à qui ils payèrent des taxes et redevances. Ils versèrent aussi la taille, impôt royal. Pour sa collecte, La Rochette était rattachée à Farcy-lès-Lys (Dammarie-lès-Lys). Mais en 1755, à la demande des Rochettois, les deux communes furent séparées. En 1753, M. Moreau, directeur des fermes du Roy, fit l'achat des deux fiefs et les défricha, ce qui fit à nouveau prospérer le village.

 

À la Révolution française, les biens du clergé furent déclarés « biens nationaux » et, à ce titre, mis en vente. M. Moreau, de La Rochette, put donc acheter les bois appartenant à l'abbaye du Lys (commune de Dammarie-lès-Lys) et limitrophes de sa propriété. Il agrandit ainsi son domaine et par conséquent la commune de La Rochette. En 1768, M. Moreau fut anobli. Il put ainsi ajouter à son nom celui de sa terre. La population augmenta (125 habitants en 1783, 177 habitants en 1790) car les châtelains embauchèrent du personnel (jardiniers, cochers et domestiques) et, beaucoup d'entre eux s'installèrent à La Rochette. Après la Révolution, la population oscilla entre 176 et 222 habitants. Les bois de L'Ermitage furent vendus en lotissement par la famille La Rochette en 1925, à la mort du baron Armand. Des pavillons y sont construits. La commune s'étend alors jusqu'à Melun, sa population décuple et atteint près de 3 000 habitants en 1962.

 

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En 2004, les moteurs de recherche avaient incorporé un large éventail de facteurs non divulgués dans leurs algorithmes de classement afin de réduire l'impact de la manipulation des liens. En juin 2007, Saul Hansell du New York Times a déclaré que Google classait les sites en utilisant plus de 200 signaux différents. Les principaux moteurs de recherche, Google, Bing et Yahoo, ne divulguent pas les algorithmes qu'ils utilisent pour classer les pages. Certains praticiens SEO ont étudié différentes approches de l'optimisation des moteurs de recherche, et ont partagé leurs opinions personnelles. Les brevets relatifs aux moteurs de recherche peuvent fournir des informations pour mieux comprendre les moteurs de recherche. En 2005, Google a commencé à personnaliser les résultats de recherche pour chaque utilisateur. En fonction de leur historique de recherches précédentes, Google a créé des résultats pour les utilisateurs connectés. En 2007, Google a annoncé une campagne contre les liens payants qui transfèrent PageRank. Le 15 juin 2009, Google a révélé qu'ils avaient pris des mesures pour atténuer les effets de la sculpture PageRank en utilisant l'attribut nofollow sur les liens. Matt Cutts, un ingénieur logiciel bien connu chez Google, a annoncé que Google Bot ne traiterait plus les liens non suivis de la même manière, afin d'empêcher les fournisseurs de services de SEO d'utiliser nofollow pour la sculpture PageRank. À la suite de ce changement, l'utilisation de nofollow a conduit à l'évaporation du PageRank. Afin d'éviter ce qui précède, les ingénieurs SEO ont développé des techniques alternatives qui remplacent les balises nofollowed avec Javascript obstrué et permettent ainsi la sculpture PageRank. En outre, plusieurs solutions ont été suggérées, notamment l'utilisation des iframes, Flash et Javascript. Le référencement est l'action de référencer, c'est-à-dire mentionner quelque chose ou y faire référence. Ce terme est utilisé dans deux contextes bien spécifiques : Sur Internet, le travail de référencement consiste à améliorer le positionnement et la visibilité de sites dans des pages de résultats de moteurs de recherche ou d'annuaires. Le référencement web s'articule autour de deux stratégies distinctes et complémentaires : le référencement naturel (ou organique) et le référencement payant (ou liens sponsorisés)