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CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A SAINT NOM LA BRETECHE

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CREATION DE SITES INTERNET PAS CHER A SAINT NOM LA BRETECHE

Région : Île-de-France

Département : Yvelines

Arrondissement : Saint-Germain-en-Laye

Canton : Verneuil-sur-Seine

Intercommunalité : Communauté de communes Gally-Mauldre

Maire

Mandat : Gilles Studnia

2014-2020

Code postal : 78860

Code commune : 78571

Spécialiste de création de sites Web

Création de sites Web pour les Nonnais-Bretechois

Création de sites Internet, sites Web, développement et référencement.

Population : 4 945 hab. (2015 en diminution de 3,92 % par rapport à 2010)

Densité : 421 hab./km2

Développement de Sites Web

Coordonnées : 48° 51' 38- nord, 2° 01' 20- est

Altitude : 180 m

Min. 87 m

Max. 181 m

Superficie : 11,74 km2

 

SITE INTERNET :    http://www.mairie-saint-nom-la-breteche.fr

 

Saint-Nom-la-Bretèche est une commune française idéale pour créer et développer son entreprise. Vous y trouverez des conseils, consultants, coach, avocats, comptables...  située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Nonnais-Bretechois. La commune de Saint-Nom-la-Bretèche se trouve dans le grand Ouest parisien, dans le nord-est des Yvelines. Elle se situe à huit kilomètres environ au sud-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à treize kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département. Sept communes sont limitrophes de Saint-Nom-la-Bretèche. Ce sont : Chambourcy au nord, Fourqueux et L'Étang-la-Ville au nord-est, Noisy-le-Roi au sud-est, Villepreux au sud, Chavenay au sud-est et Feucherolles au nord-ouest. Histoire : Saint-Nom fut desservie au début du xxe siècle par le tramway de Versailles à Maule. Saint-Nom-la-Bretèche s'est constituée à partir de quatre hameaux, Saint-Nom, la Bretèche, Valmartin et la Tuilerie-Bignon, près de la Forêt de Marly. Rebâti au xviie siècle par la famille Pomereu, seigneur de la terre depuis 1534, le château fut remis au goût du jour au début du xviiie siècle lorsque Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, fils légitimé de Louis XIV et de Mme de Montespan s'en porta acquéreur en janvier 1703. Acquis en 1736 par Jean-Pierre Richard, receveur général des finances de la généralité de Tours, père du fameux abbé Jean-Claude Richard de Saint-Non, le château fut alors remanié par l'architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne qui devait bâtir plus tard la cathédrale Saint-Louis de Versailles (1742-1754). On lui doit ainsi la modification de la distribution intérieure, le bel escalier de style rocaille, ainsi que plusieurs décors de boiseries et dessus-de-portes inspirés de son séjour en Italie. Revendu en 1749 par les héritiers de Richard à Jacques Frescot de Lanty, conseiller du roi au grand-conseil, le château revint finalement, en août 1766, à Louis XV qui souhaitait augmenter ses domaines de Versailles et de Marly. Le château et le domaine firent alors l'objet de relevés minutieux par le premier architecte du roi Ange-Jacques Gabriel. Propriété privée, le château ne se visite pas.L'autel, aujourd'hui visible, provient de l'ancienne chapelle du château. Il est aussi l’œuvre de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne qui avait procédé en 1746-1747, à la demande de Jean-Pierre Richard, seigneur du lieu, à l'extension du chœur avec ses deux chapelles latérales, à la construction d'une nouvelle sacristie et à la décoration intérieure (vestiges). Mansart procéda également à la restauration de la ferme de Val-Martin. Durant le siège de Paris en 1870 le quartier général de la 5e division de cavalerie prussienne fut installé à Saint-Nom. Au xxe siècle se sont développés de nombreux lotissements dont le nouveau hameau du vallon de Chavenay.

 

Le Village tire son nom de celui d'un chorévêque du IXème siècle, Saint Nonne, qui réévangélisa le pays dépeuplé après les invasions normandes, et de la Bretesche, forteresse de bois, (breit eiche, gros chêne) le principal “écart” (*) en bordure de la forêt de Cruye. Le hameau se nomma longtemps Saint-Nonne au val de Galie, nom de la paroisse, puis nous trouvons Saint-Nom près la Bretesche et aujourd'hui Saint-Nom-la-Bretèche, avec une parenthèse pendant la Révolution où la commune fut dénommée La Montagne Fromentale puis l'Union la Bretesche. Les “écarts” d'Avinières, Val-Martin, La Tuilerie-Bignon dépendaient de nombreux seigneurs, des Dames de Poissy et de l’abbaye des Vaux-de-Cernay. La Bretèche, enclavée dans le parc de Marly au nord, Saint-Nom dans le parc de Versailles au sud, le village a bien du mal à unifier son identité. La croissance démographique de ces dernières années a relié ces différents “écarts” et permis de construire un “Centre Village”. Intercommunalité : Jusqu'en 2012, la commune n'était pas rattachée à une communauté de communes. En application de la loi de réforme des collectivités territoriales, la communauté de communes Gally-Mauldre, qui rassemble 11 communes, a été créée le 1er janvier 2013. Lieux et monuments : L'église Saint-Nom était à l'origine une tour de guet datant du milieu du xiiie siècle. Elle a été souvent remaniée au cours des siècles et sa dernière restauration date des années 1980. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 24 juin 1977. Le château de la Bretèche (aujourd'hui propriété privée) fut la propriété de la famille Pomereu puis de Louis Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, fils légitimé de Louis XIV et de la Montespan. Ferme du Val-Martin, maison des XVIe ou xviie siècles, ancienne dépendance de l'abbaye royale des Dames de Poissy : porte médiévale. Ferme de Saint-Nom, ancienne dépendance des moines de l'abbaye des Vaux-de-Cernay, restaurée et transformée en résidence. Hôtel de ville. Vestiges de l'ancien château de Montjoie dégagé par la société des amis du vieux Saint-Germain. Ruines du château de Joyenval.

Porte de la Tuilerie des xviie et xixe siècles, dite « pavillon de l'Arène » (maison forestière).

 

Création de SITES INTERNET, développement de SITES WEB pour votre entreprise ou votre société. Pour créer un site sur mesure pour vendre en ligne ou présenter ses produits. L'ensemble des SITES WEB constituent le World Wide Web. Aujourd’hui, le Web est accessible via le protocole HTTP (HyperText Transfer Protocol) et les URL (Uniform Resource Locator). Les fichiers hébergés sur le SITE INTERNET reposent sur du HTML (HyperText Markup Language) et d'autres langages complémentaires. Le protocole HTTP permet au client (généralement via un navigateur web) d'accéder à des ressources par un URL. HTML et de structurer les données ou lier les ressources entre elles, notamment avec des liens hypertextes.

 

On parle parfois de « SITE INTERNET » au lieu de SITE INTERNET. On devrait parler de SITE WEB à destination d'internet, mais par abus de langage, l'expression SITE INTERNET reste souvent utilisée. Les SITES WEB ne sont pas forcément accessibles sur internet. Par exemple, les intranet peuvent contenir un ou plusieurs SITES WEB non accessibles via internet. Les différentes étapes de la conduite d'un projet web peuvent être résumées ainsi : lancement : étude des besoins, de la concurrence et de l'existant pour l'établissement d'un cahier des charges ; conception : élaboration de la structure (arborescence), du contenu des pages web et en particulier de la page d'accueil et éventuellement un moteur de recherche, du graphisme, qui font partie du cahier des charges fonctionnel ; réalisation : voir ci-dessous ; production : le site est mis en ligne, devient accessible au public ciblé ; exploitation : phase de maintenance et de promotion du site, avec notamment le référencement naturel (Netlinking) ou payant (Google Adwords, Microsoft Adcenter, ou autres).

L'étape de réalisation comprend : la réservation et gestion d'un nom de domaine (l’adresse web à laquelle le site est accessible) ; la mise en œuvre d'une infrastructure d'hébergement du site (serveurs web, base de données...) ; le développement de l'interface utilisateur (frontend), la partie visible dans le navigateur ; les différentes pages sont décrites en langages connus des navigateurs web, principalement HTML, CSS et JavaScript. Les éléments graphiques (et éventuellement des publicités servant à rémunérer le site) sont intégrés dans ces pages ; le développement de l'arrière plan (backend), la partie qui fonctionne côté serveur. La création d'un site peut être confiée à une agence web, un travailleur indépendant, ou faite soi-même. Si la création est déléguée, il est important en amont d'avoir défini un premier cadrage ou cahier des charges du projet3. Pour développer un SITE INTERNET soi-même, il est possible d'utiliser un éditeur de pages web ; pour les développeurs web avertis, un simple éditeur de texte peut suffire. On peut aussi avoir recours à un système de gestion de contenu.

 

SITES WEB statiques: page Web statique : un SITE WEB statique stocke un fichier unique pour chaque page d'un SITE INTERNET statique. Chaque fois que cette page est demandée, le même contenu est renvoyé. Ce contenu est créé une fois, lors de la conception du site. Il est généralement créé manuellement, bien que certains sites utilisent un processus de création automatisé, semblable à un SITE WEB dynamique, dont les résultats sont stockés à long terme en tant que pages complétées. Ces sites statiques créés automatiquement sont devenus plus populaires vers 2015, avec des générateurs tels que Jekyll et Adobe Muse. Les avantages d'un SITE INTERNET statique sont qu'ils étaient plus simples à héberger, car leur serveur n'avait besoin que de diffuser du contenu statique et non d'exécuter des scripts côté serveur. Cela nécessitait moins d'administration de serveur et avait moins de chance d'exposer les failles de sécurité. Ils pourraient également servir les pages plus rapidement, sur du matériel serveur à bas prix. Ces avantages sont devenus moins importants à mesure que l'hébergement Web à bas prix se développait pour offrir également des fonctions dynamiques, et que les serveurs virtuels offraient de hautes performances pour de courts intervalles à faible coût.

 

En conséquence, les concepteurs ont tendance à se spécialiser dans certains types de projets et ont des compétences centrées sur leur expertise, que ce soit la conception de logiciels, la recherche d'utilisateurs, la conception OU LE DEVELOPPEMENT DE  SITES INTERNET ou le design industriel. La conception de l'interface utilisateur nécessite une bonne compréhension des besoins des utilisateurs. Il existe plusieurs phases et processus dans la conception de l'interface utilisateur, dont certains sont plus demandés que d'autres, selon le projet. (Remarque: pour le reste de cette section, le mot système est utilisé pour désigner tout projet, qu'il s'agisse d'un SITE WEB, d'une application ou d'un périphérique.) La collecte des exigences de fonctionnalité - l'assemblage d'une liste des fonctionnalités requises par le système pour atteindre les objectifs du projet et les besoins potentiels des utilisateurs. L'analyse des utilisateurs et des tâches - une forme de recherche sur le terrain, c'est l'analyse des utilisateurs potentiels du système en étudiant comment ils exécutent les tâches que le design doit soutenir, et en menant des entretiens pour élucider leurs objectifs. Les questions typiques impliquent: Qu'est-ce que l'utilisateur voudrait que le système fasse ? Comment le système s'intégrerait-il au flux de travail normal de l'utilisateur ou aux activités quotidiennes ? Dans quelle mesure l'utilisateur est-il techniquement avisé et quels systèmes similaires l'utilisateur utilise-t-il déjà ? Quels styles d'apparence et de convivialité d'interface intéressent l'utilisateur ? Architecture de l'information - développement du processus et / ou flux d'informations du système (c'est-à-dire pour les arborescences téléphoniques, ce serait un organigramme en arborescence d'options et pour les DEVELOPPEMENT DE SITES WEB ce serait un flux de site qui montre la hiérarchie des pages).